Guide pour travailler avec les clients « difficiles »

client-pas-contentC’est dimanche, je suis fatigué et j’ai la flemme de rédiger un billet.

En plus, j’ai observé que le trafic était largement en berne pendant le week-end.
Du coup, vous avez droit à un infographie.

Ne vous inquiétez pas, ce n’est pas un piège comme celle sur Psy vs. Justin Bieber.

Je suis ne suis pas fan des infographies.
Cependant, de temps en temps, je tombe sur quelque chose d’informatif et ludique, qui mérite de s’y attarder.

Dans le cas présent, il s’agit de traiter les différents cas clients, auxquels nous sommes confrontés tous les jours lors de prestations SEO et autres métiers du Web.

Les clients difficiles du référenceur

Source : Search Engine Journal

15 réflexions sur “Guide pour travailler avec les clients « difficiles »”

  1. Je me reconnais pas mal dans le « I don’t know what I want’ :D. Enfin ça c’est juste quand je demande un design, j’ai un manque flagrant d’idée pour ça. ça doit pas être facile tous les jours les relations client.

  2. Cette année, j’ai été vernis.

    J’arrive à vendre un site complet à un prospect qui voulait quelqu’un pour reprendre son site, basé sur un CMS complètement ésotérique, obsolète et buggé (vivvo cms).

    Bon. Je me doutais pas qu’il allait me faire transpirer plus de 6 mois, pour un projet qui n’aurait dû durer que 1 ou 2 mois…

    Jamais content, confondant évolution et correction, il a été odieux, pinaillant comme un bourrin sur tout et n’importe quoi.

    En plus, ce client a un gros problème avec l’expression orale et écrite : le langage et la communication, je mets un zéro pointé !

    Et il n’a toujours pas payé le solde.
    Il va avoir une drôle de surprise demain … suffisamment honteux pour régler très rapidement 😉 *grin*

    Voilà, 3615 My Life

  3. Il manque le client SEO … Celui qui te raconte sa vie pendant 1h au tel, ne connaît pas ses mots clés, trouve que 6 mois pour le referencer c’est beaucoup trop long … Et qui a besoin d’une étude de 10 pages concernant son cas particulier pour savoir si il va te faire l’honneur de t’accorder son honorable budget de 300 euros.

  4. Je pense surtout comme @Nicolas, si tu veux vraiment gagner en temps et en efficacité il faut savoir ne pas les prendre.
    Parfois refuser un client te fera gagner en temps et en argent, malheureux à dire mais c’est du vécu.

  5. Le pire, c’est que parfois plusieurs profils se recoupent. Il manque peut-être le client plus qu’honnête qui répète pour t’encourager que dès que ça marchera vraiment, il réinvestira chez toi

  6. Très sympa cette infographie. Les pire c’est ceux qui jugent mal le travail à faire, genre tout cet argent pour ça. Y’a aussi ceux qui veulent tout à l’instant. Il y’a des profils de clients à ne pas prendre et tant pis pour l’argent perdu.

  7. J’ai assez bien reconnu les problèmes auxquels doit faire face ma graphiste de compagne. Il y a un phénomène quasi magique qu’on ne s’explique pas vraiment : fournissez trois versions d’un travail à votre clients. Puis faites un sondage auprès des collègues pour qu’ils vous disent quel est le travail le moins réussi / le moins pro / répondant le moins bien au cahier de charge, en gros celui dont vous devriez être le moins fier. Vous verrez que 99 fois sur 100 votre client choisira la version qui vous offre le moins de satisfaction. J’ai déjà constaté le même souci avec le design de site Web… Travailler pour soi, il n’y a vraiment que ça de bon pour le moral. L’ingratitude, ça esquinte à force…

  8. Dès qu’un métier est concurrentiel comme la création de site internet, le graphisme, etc, on récolte toujours son lot de clients à problèmes.

    Parce qu’il y a toujours un sous-entendu « je peux aller voir ailleurs » et donc on accepte les « diva » et autres profils indiqués dans cette infographie.

    Quand tu est incontournable ou presque, le client le sait et sera automatiquement plus « docile ». Sinon il est bête et se retrouvera dans la merde.

    Demandez aux meilleurs seo black hat si ils ont ce genres de clients.

    Comme le dit « tablette storio », dès fois il vaut mieux refuser.

    Maintenant plus facile à dire qu’à faire surtout quand on doit manger et on est pas tous incontournable.

    Le plus important c’est les tunes, un client relou ok, mais il doit payer.

    Perso depuis quelques années je zappe les clients qui refusent les acomptes, payent à 3/5 mois et uniquement si tu les as relancé au moins 5 fois (agences de pub je ne vous vise pas…).

  9. OH! Des clients difficiles y en ont toujours. C’est pourquoi, je te remercie d’aborder ce sujet. Cela m’encourage à penser que je ne suis pas le seul à les affronter. Un de mes clients n’a pas assez de patience pour attendre les résultats. Il veut guider ma manière de travailler. Il veut que je change chaque jour de stratégie. Pourtant, il cherche un résultat toute suite. J’ai déjà donné toutes les explications mais rien à faire. J’ai fini par lui dire que je n’aime pas travailler avec lui et que je ne suis pas capable de satisfaire ses besoins. Heureusement, qu’il y a qu’une toute petite partie du paiement que je dois rembourser.

  10. Le meilleur type de client selon moi est celui qui te fait confiance. Te laisse travailler et te demande des comptes en fin de période. Mais surtout pas un du type je veux du résultat tout de suite ou encore du genre tout cet argent pour ça?

  11. Belle infographie, ça a du bon d’avoir la flemme 😉 Je crois que j’ai personnellement un nom précis pour chaque type de client… Ces personas sont assez caractéristiques de ce que l’on peut retrouver sur le terrain.

Laisser un commentaire