Il faut être un paradoxe.

D’un côté, ton cerveau réclame de la clarté, du stable et du solide.

Une bonne vieille chaise bien ferme.

De l’autre, tu vis sur des sables mouvants : techno qui s’emballe, flux d’infos en continu, IA qui te souffle à l’oreille 24/7.
Et là-dedans, tu es censé penser juste, décider vite et agir bien.

Bonne chance.

Je vais te montrer pourquoi, dans ce monde-là, ton cerveau tout seul est désormais obsolète et pourquoi tu as besoin d’un Exocortex, un deuxième cerveau branché à l’IA qui joue le rôle de copilote… pour de vrai.

“Tout ce que je sais, c’est que je ne sais rien.”

Tous les matins, avant d’allumer mon smartphone, avant Internet, avant le reste, je me répète la même phrase :
“Tout ce que je sais, c’est que je ne sais rien.” – Socrate, version 2025.

À son époque, un type très sérieux pouvait encore prétendre “couvrir” l’essentiel du savoir humain.

Aujourd’hui, même en 10 vies, tu n’y arrives pas.

Le problème n’est plus le manque d’information.

Le problème, c’est le flux : Notifications, réseaux sociaux, news, vidéos courtes, ChatGPT, Gemini & co. qui te poussent à faire des “follow-ups” pour prolonger la conversation.

1000 signaux par minute, 0 vraie décision prise.

Résultat ? Des symptômes qui ressemblent à ceux du TDAH : hyperstimulation, incapacité à se poser, paralysie vibratoire.

Ton cerveau va à 2000 km/h.
Ton action, elle, reste au point mort.

Les suceurs de cerveau, je les connais bien : je fais du branding, du marketing et de la captation d’attention depuis 1994.

Je suis un dealer d’attention.

La différence, c’est que je ne consomme pas ma propre came.

Je garde la tête froide. £
Clarté radicale + humilité brutale.
Tu as besoin de clarté.
Tout le monde a besoin de clarté aujourd’hui.

Mais pas la version “développement personnel Instagram”.
Je ne parle pas de fausse humilité, du storytelling du mec qui joue au petit fragile pour mieux vendre derrière.
Je parle de :

Confiance en soi bien placée
Ego calibré

Et en même temps : “Je sais que je ne sais rien… surtout à propos de ce qui arrive.”

Mon “secret” (si tant est que j’en aie un) est simple :

je parle uniquement de sujets que j’ai poncés en profondeur
je suis prêt à désapprendre dès que la réalité prouve que j’ai tort

Tout le monde a droit à une opinion.
Toutes les opinions ne se valent pas.

Si tu balances une critique planquée derrière un pseudo-anonyme, honnêtement, ça ne m’effleure pas.
Si quelqu’un que je respecte, qui maîtrise le sujet, démonte mon point, je l’écoute.
Et je pivote.

C’est ça, l’humilité utile : pas se traîner par terre, mais être prêt à reconfigurer son cerveau quand les faits changent.

Tout ce que tu vois aujourd’hui sera préhistorique dans 12 mois.
Voilà un autre truc que tu dois intégrer au marteau-piqueur : tout ce que tu vois aujourd’hui sera préhistorique dans 12 mois.
Tes outils.
Tes méthodes.
Tes certitudes.

L’IA ne va pas ralentir pour que tu te mettes à l’aise. 
Ce qui t’explose au visage, c’est l’accélération.

Donc deux options :

Tu t’excites sur chaque nouveau “effet waouh”, tu cours après la dernière démo
Tu restes froid, lucide, et tu te demandes : “Dans 1 an, qu’est-ce qu’il restera de ce truc, concrètement, dans mon système ?”

Perso, j’ai arrêté de courir.
Je regarde, j’évalue, je range : soit dans “utile pour mon exocortex”soit dans “gadget joli, merci, au suivant”
Lâcher prise sur le bling-bling, c’est retrouver de la bande passante mentale.

Le vrai game : flexibilité mentale et biais cognitif.
On parle beaucoup d’IA, peu de biais cognitifs.
Mauvaise nouvelle : tu es bourré de biais.
Moi aussi.
Tout le monde.
Le plus violent : le biais de confirmation.
Tu veux croire que la Terre est plate, donne-moi trois semaines, une bonne stratégie de contenu, et je peux t’embarquer dans une secte intellectuelle bien ficelée.
Tu n’as pas besoin d’être idiot pour te faire brainwasher.

Tu as juste besoin d’être humain, avec un cerveau qui adore avoir raison.
On vit tous dans des caisses de résonance où nos opinions tournent en boucle.
C’est confortable, mais mortel pour la lucidité.
La seule défense, c’est : Perspective : sortir de ta propre tête.

Empathie profonde : comprendre des points de vue qui ne sont pas les tiens.

Agilité mentale : être capable de pivoter sans te sentir menacé.

Darwin n’a jamais dit “survie du plus fort”.
C’est le plus adaptable qui survit.

En 2025, l’adaptabilité, c’est : accepter d’être un éternel débutant sur la techno, les systèmes, l’IA.
Pas confortable.
Aujourd’hui, il faut être hyper flexible.

Pourquoi j’ai changé d’avis sur “l’IA en copilote”

Je vais être cash : je me suis trompé sur un truc.

Pendant un moment, j’ai répété : “Arrête d’être passager, sois pilote et utilise l’IA en copilote.”

Sous-entendu : apprends à mieux utiliser l’IA pour piloter ton business.

Ce n’est plus suffisant.

La techno a muté :

Les LLM comprennent beaucoup mieux notre intention.
La voix devient le moyen naturel d’interaction.
Les modèles sont capables de gérer du contexte massif, de structurer, de résumer, de planifier.

Donc non, je ne veux plus juste que tu “apprennes à mieux utiliser l’IA”.

Je veux que tu te fabriques un vrai copilote, avec un rôle dédié, comme dans un cockpit d’avion ou dans une voiture de rallye.

Le copilote ne sert pas à expliquer au pilote comment conduire.
Le copilote : anticipe,filtre les mauvaises décisions, lit la route, impose le rythme.

C’est ce qu’un Exocortex doit faire pour toi.

C’est quoi, un Exocortex (version Laurent) ?

Un Exocortex, ce n’est pas :

“Une super app de notes”
“Un nouveau Notion setup”
“Un prompt magique”

Un Exocortex, c’est un système complet :

Des protocoles,
Des prompts système,
Des routines de handoff,
Des filtres à mauvaises idées,
Des fichiers de contexte.

Le tout branché sur l’IA, qui joue le rôle de deuxième cerveau sans que tu aies besoin de te greffer une puce dans le crâne.

Son job :

Te sortir de la paralysie vibratoire,
T’empêcher de t’éparpiller,
Te ramener dans tes projets au lieu de t’ouvrir un nouvel onglet,
Te donner de la clarté quand tu es dans le brouillard

Ce n’est pas un gadget.
C’est une armature mentale externe.

Exemple concret: le Micro Handoff.

Prenons un protocole clé de l’Exocortex : le Micro Handoff.

Ton comportement actuel :
tu bosses sur un truc, tu dois filer (réunion, famille, apéro, …peu importe).
Tu fermes tout “à l’arrache”, le lendemain, tu rouvres ton projet… et tu ne sais plus où tu en étais.

Résultat : tu te dis “je vais démarrer autre chose le temps de…”, et ton projet rejoint le cimetière de tes idées brillantes.

Le Micro Handoff casse ça.

En pratique :

Avant de quitter ton poste, tu prends 60 à 90 secondes
Tu expliques à ton Exocortex (via l’IA, avec ta voix de préférence) : ce que tu viens de faire, ce qui bloque éventuellement, la prochaine micro-étape concrète à exécuter
L’IA te résume, structure, range ça proprement dans ton système.
Le lendemain, tu reviens avec la tête dans le pâté : ton Exocortex te sert un brief clair, avec la tâche suivante prête à être exécutée.
Tu n’as pas besoin de “te remettre dans le bain”.
Tu reprends directement là où tu dois agir.

Un bon micro handoff, ça sauve des projets entiers.

Dream Killer, filtres, garde-fous : un copilote qui te parle mal (mais juste)

Autre pièce essentielle de l’Exocortex : le Dream Killer.

Parce que oui, l’IA standard est trop gentille avec toi.
Tu lui demandes : « Donne-moi 10 idées de business pour gagner de l’argent avec l’IA. »
Elle t’en balance 10, toutes plus sexy les unes que les autres.
Aucune ne tient compte de ta réalité, de tes compétences, de la dette technique ou marketing nécessaire, ni de la violence du marché.

Résultat : tu pars sur des trucs beaucoup trop lourds pour toi, et tu te plantes.

Le Dream Killer fait exactement l’inverse :

Il démonte tes idées
Il évalue la faisabilité
Il met en lumière les dettes cachées
Il te dit “non” sans prendre de pincettes

C’est ce que fait un vrai copilote : il ne caresse pas dans le sens du poil ; il t’évite de sortir de la route.

L’Exocortex, ce n’est pas qu’une jolie métaphore.

C’est un ensemble de systèmes IA qui : te challenge, te protège de toi-même, te force à rester dans la réalité.

Tu n’as pas besoin d’un nouveau LLM.
Tu as besoin de clarté.
100 % des questions qu’on me pose quand je montre un truc un peu joli, c’est :
“C’est quoi l’outil ?”
Ce n’est pas la bonne question.

La vraie question, c’est : “Dans quel système ça s’intègre, et quel rôle précis ça joue dans mon Exocortex ?”

Aujourd’hui, ce qui te manque, ce n’est pas :

Encore une formation pour “mieux utiliser l’IA”
Encore une liste de 50 outils encore un comparatif de modèles

Ce qui te manque, c’est un deuxième cerveau structuré qui t’aide à voir clair et à agir.

Tu peux le construire toi-même.
Tu peux aussi t’appuyer sur ce que j’ai déjà poncé.

Mon programme Exocortex IA (et pourquoi j’assume le mot “programme”)

Je n’appelle pas ça une “formation” au sens classique.
C’est un programme : des systèmes, des prompts, des protocoles prêts à être intégrés à ton quotidien pour te fabriquer un Exocortex IA.

Tu y trouves, entre autres :

Un prompt ultra puissant pour forcer l’IA à passer en Mode YOLO (You Only Look Once), impliquant d’être rapide et efficace
Les protocoles type Micro Handoff pour ne plus perdre tes projets entre deux sessions
Le Dream Killer pour filtrer les mauvaises idées avant qu’elles te ruinent des semaines
Des fichiers de contexte pour que l’IA arrête de te voir comme un inconnu à chaque nouvelle conversation
Une philosophie claire : humilité radicale, flexibilité maximale, action lucide

Il n’est pas obligatoire de passer par moi.
Tu peux bricoler ton Exocortex en solo.
Mais, franchement, vu la vitesse à laquelle le monde part en vrille, ne pas en avoir un, c’est choisir volontairement de rester avec un cerveau nu dans un environnement conçu pour le saturer.

Si tu veux que je t’accompagne pour le construire, direction L’IA en Co-Pilote Boss Mode aka Exocortex IA

On arrête les illusions de contrôle.

On suppose qu’un seul cerveau humain ne suffit plus.

Et on se fabrique, ensemble, le copilote qui va te permettre de tenir le choc et de briller, pendant que les autres se noient dans le flux.