Stratégie imparable de LinkWheel

Link Wheel naturelleVous avez pu lire, dans mon dernier billet, que j’avais des choses désagréables à dire sur la stratégie de netlinking d’un bourrin.

Maintenant, peut-être que je dois montrer comment concevoir efficacement une LinkWheel ou réseau de plates-formes Web qui permet de prendre le contrôle d’une tranche de l’apport de popularité.

Tout ce qui suit est clairement en infraction avec les Guidelines Google. Ceux qui pensent que trafiquer sa popularité est l’apanage des seuls Black Hat SEO se mettent le doigt dans l’œil. Enfin bon, si vous avez lu mon dernier billet, j’ose espérer que le message est bien passé (pourtant je ne suis pas sûr d’après certains retours). Encore une fois, Google n’est pas la loi, mais le dominant. Le seul objectif est d’arriver à des résultats sans se faire prendre par le radar.

Chacun trafique le PageRank comme il peut avec plus ou moins de risque, mais le moindre backlink artificiel est en théorie un pied du côté obscur de la Force. À chacun d’analyser où il se situe dans la mythologie Star Wars pour connaître l’issue potentielle.

Principe du LinkWheel

Lorsqu’on regarde ce qu’il y a de plus pénible (et je reste poli) à faire dans le triptyque du référencement (technique, contenu, popularité), c’est clairement la tâche d’apport de popularité qui remporte la palme sur le plan chronophage et répétitif. Je ne sais pas quelle dose vous pouvez supporter, mais je n’en peux plus après 5 soumissions d’annuaires et je ne parle pas des « communiqués de presse » (ils valent bien les guillemets ceux-là). En fait, ce n’est pas le processus d’inscription qui craint, mais bien le côté rédactionnel qui pue.

Le netlinking est long et fastidieux, à moins qu’une poignée de liens suffisent à obtenir un résultat probant. Le truc est de capter ces quelques backlinks efficaces ; pour cela je ne compte sur personne d’autre que mes propres armes.

Donc, comment panser la plaie rédactionnelle ?

Que ça soit pour rédiger plusieurs versions d’un billet de splog ou d’une description d’annuaire, la rédaction d’un contenu insipide tourné dans plusieurs versions est une des plus grandes douleurs du référenceur. La palme revenant à ces communiqués sans saveur qui ont comme intention d’optimiser l’environnement contextuel du lien, mais l’habituelle immondice de contenu n’est peut-être pas aussi propice qui soit. Les moteurs sont idiots car ils ne comprennent pas ce qu’ils lisent, mais prendre des vessies pour des lanternes est illusoire. Ce n’est pas un gros problème puisque les moteurs sont coincés « off page » pour être virulents. Plutôt que pénaliser, la non pondération reste une solution de statu quo. Cette situation permet une énorme latitude, mais n’empêche pas d’évaluer la valeur absolue des actions.

Ainsi, je vais tâcher de réduire au minimum l’effort rédactionnel, tout en procurant une valeur ajoutée maximale aux backlinks. Un mélange d’automatisation des tâches viendra renforcer des actions menées à la main.

Ensuite, l’autre problème concerne la maîtrise en interne des plates-formes sur lesquelles poser ces foutus liens.

Le constat habituel observe une incapacité à poser le moindre lien en interne si vous possédez un seul site. Dans la majorité des cas, l’apport de popularité dépend d’une poignée de plates-formes, mais la pêche au backlink ailleurs que chez soi demeure le sport national du chargé d’apport de popularité. Au pire des cas, rien n’est engagé à ce niveau…

Le but de ma démonstration sera de combler la problématique, tout en se gardant bien de ne pas dévoiler un signal évident de réseau de sites comme démontré par le mulet du précédent billet.

Pour la majorité des cas que j’adresse, nul besoin de s’engager profondément dans cette technique car les forces en présence sont tellement faiblards qu’il suffit d’être seulement un poil moins mauvais que les autres afin d’obtenir d’excellents résultats. Mon analogie est qu’on prend une Formule 1 pour faire un km lancé contre un Karting. Pas besoin de se croire le plus fort; j’insiste sur le fait que l’humilité est la principale qualité du référenceur. Ensuite vient le travail, puis l’ego se place troisième (voir la discussion sur l’ego du référenceur).

Contenu facile

Du propre, rien que du propre et encore du propre !

Je suis intransigeant « on site ». Ce n’est qu’à partir du « off site » que le sujet du Black Hat SEO peut être abordé, principalement pour savoir situer la ligne jaune au lieu de foncer dans le précipice comme un mouton de Panurge.

Au sein de mes transferts de compétences, je fais la démonstration que simplement écrire une nouvelle version d’un texte n’est pas forcément suffisant pour évacuer le souci du contenu dupliqué. Il existe un autre niveau de duplication qui est sur le plan sémantique, champ lexical ou même simplement relationnel entre les termes. Franchement, l’exercice de pouvoir publier des textes réellement différents n’est pas aisé et en plus c’est complètement abrutissant.

Dans ce système, pas de scrapping, morphing, mixing ou vomiting du contenu. Cela ne veut pas dire que c’est inefficace, mais la notion de volume est indispensable lorsqu’on atomise l’index des moteurs avec des pages robotisées. Puis j’ai trop de respect pour les artistes ou jongleurs du spinning pour tenter de donner des leçons.

Dans le cas présent, une poignée de liens sera l’équivalent de quelques centaines ou même milliers dans une stratégie tout automatique. Chacun son style et l’un ne vaut sans doute pas mieux que l’autre. Le seul qui n’a rien compris croit faire du propre, alors qu’il est jaune devant et marron derrière. De plus, je ne parle pas de graviter dans des requêtes secondaires ou tertiaires, mais bien d’aller cherche le Saint Graal. Ceux qui vantent uniquement une stratégie Moyenne et Longue Traîne adoptent généralement une excuse de loser (et pas de MegaLooser). Plus rares sont ceux qui vont cibler cette zone pour rester sciemment « under the radar ».

Au lieu de faire du contenu pourri (en auto ou à la mano), le truc consiste à réduire au maximum le processus de rédaction.

Pour ce faire, je vais privilégier des plates-formes qui ne nécessitent pas un contenu dense.

La mixture de la LinkWheel va contenir des sites de micro-blogging, Digg Like, bookmark sociaux et autres possibilités de poser un lien sans pondre plusieurs centaines de mots. Les annuaires sont encore une possibilité qui n’a pas besoin d’être détestable – sous certaines conditions.

Bien sûr, le splogging n’est pas oublié, mais je préfère commencer par le plus facile avant de replonger dans l’enfer rédactionnel insipide.

Lien facile

Un lien sur une page de merde va transférer une chiasse de popularité.

En reprenant mon exemple d’hier, j’aurais pu insister en pointant vers les liens qui pointent vers Webuzz4you.com, éminent membre de la LinkWheel du meilleur référenceur e-commerce. J’ai préféré vous laisser fouiner l’autre jour, mais l’exemple est trop délicieux pour ne pas l’utiliser à nouveau.

C’est joli de facturer plusieurs centaines d’euros par mois les soumissions, mais ça pue lorsque les liens sont posés sur des sites qui n’ont pas de valeur ajoutée en termes de popularité. Le string du backlink n’est pas très sexy pour Webuzz4you.com avec PageRank 0. Je prends comme témoin les quelques dizaines de backlinks clochards, dont la plupart proviennent évidemment du réseau bourrin. Ce n’est pas la peine de revenir sur mon autre billet, j’ai bien mis une capote avant de faire un lien vers cette prostituée du BL.

http://siteexplorer.search.yahoo.com/search?&bwm=i&bwmo=d&bwmf=s&p=www.webuzz4you.com

http://www.majesticseo.com/reports/site-explorer/summary/www.webuzz4you.com

Cela dit, je comprends la douleur puisque c’est déjà fastidieux de faire des liens vers le site qui en a besoin, alors c’est autrement pénible de populariser les racoleurs.

Pourtant, ces petits soldats sont destinés à envoyer du Link Juice suffisant pour tacler du concurrentiel. Je veux dire des vraies requêtes concurrentielles et pas celles que vous avez réussi à convaincre auprès du client (ou vous-même).

C’est là que l’automatisation des tâches s’enclenche. Pas de pitié pour ces racoleurs de Link Juice qui seront popularisés uniquement par le biais d’outils. Sachant que certains soldats vont tomber, tout sera programmé pour que les moteurs ne puissent jamais nous retrouver et encore moins pointer du doigt les sites qui profitent des précieux backlinks.

Au niveau de l’automatisation, ne pensez pas qu’acheter une licence suffit pour devenir un as. Plutôt que faire des bêtises, commander un blast à des spécialistes. Sinon, suivez une formation auprès d’un spécialiste, mais ne reposez pas sur les ebooks, posts de blogs ou threads de forums pour manipuler comme il faut des bombes atomiques telles que Xrumer, Link Farm Evolution, etc.
Comme dirait Rudy, ce n’est pas l’outil qui fait le moine.

Pas de traces

Pour ne pas mettre en évidence un réseau de sites, les précautions sont évidentes. Enfin certains meilleurs référenceurs e-commerce se sentent tellement supérieurs qu’ils pensent être au-dessus d’une sentence. Dans le cas présent, nous allons rester humbles devant les foudres du Dieu Google.

Le minimum syndical est un WHOIS différent et des plages d’IP diffuses.

Jamais, jamais, jamais construire uniquement des liens vers ses sites ou ceux des clients. Dans un système micro-blogging, annuaire ou bookmark social, je préconise de faire uniquement un lien sur dix vers un site qui fait l’objet d’une campagne de netlinking. Pour un billet de blog ou communiqué de presse, c’est une fois sur trois que les liens pointeront vers le site en besoin de pétrole ; sans oublier que des liens vers d’autres sites « neutres » seront intégrés dans le contenu.

Évidemment, le but étant de ne pas laisser une empreinte trop cochonne, ne pas hésiter à augmenter encore plus cette fréquence. Bien sûr, les ancres doivent être réparties de plus en plus au fur et à mesure que vous attaquez du concurrentiel. Si je poussais avec 70% d’ancres optimisées auparavant, ce ne sera plus que 25 ou 30% aujourd’hui.

Au-delà du netlinking, variez un maximum dans tous les signaux (Triplette du Bourrin si tu m’entends) !

Pour faciliter le passage en mode schizophrène, placez vous dans la peau de n’importe qui en charge d’un blog, annuaire, etc. Si vous êtes un mec qui possède un site vendeur de fleurs, devenez une femme blogueuse passionnée de jardinage. Cette dernière va parler de sa passion à tort et à travers, puis de temps en temps elle va citer ce fabuleux site qui permet d’acheter le plus beau bouquet au meilleur prix.

La fréquence dans le temps est vitale. Mettez en place un processus de construction sur plusieurs semaines ou plusieurs mois au lieu de la jouer mort subite. Le rythme d’acquisition dépend en grande partie du site qui reçoit le précieux calice, mais c’est également pour tenter de reproduire un cycle plus ou moins naturel. Pensez marathon au lieu de sprint.

En mode parano, c’est conseillé d’utiliser un PC dédié uniquement à cette tâche. Derrière un proxy, VPN, machine virtuelle ou tout ce qui pourra éloigner les collabos des moteurs. L’ordinateur transformé en machine à linker n’ira jamais se connecter à Google ou un autre moteur de recherche.

Certains vont mettre en place une galaxie de niveaux au sein de la LinkWheel. C’est recommandable lorsqu’on est crade « on site » autant que « off site », mais notre cas ne nécessite pas d’adopter le lien en triangle, polygone ou même la quadrature du cercle.

Pour remonter à la naissance du LinkWheel, l’objectif principal était d’évacuer la problématique de dénonciation du money site par les modérateurs de forums auprès des hébergeurs. Chaque niveau supplémentaire entre le money site et les racoleurs va diluer d’autant plus le précieux jus. Je préfère capitaliser sur le sirop de PR, en diffusant le signal au sein des racoleurs, plutôt qu’éloigner les sites.

En plus, n’oubliez pas que le concept de Google consiste à suivre les liens. Peu importe les niveaux destinés à diluer le signal car il arrivera sans problème à reconstruire un maillage. Par contre, si vous arrivez à envoyer un signal naturel pour chacune des plates-formes, nul besoin de se tracasser à bâtir plusieurs niveaux ou même à produire une multitude de racoleurs. Mieux vaut trois ou quatre légionnaires  du 2ème REP, plutôt que cent appelés du service militaire.

Attendez avant de lier à tout va ! L’objectif est de transférer de la popularité, donc inutile d’envoyer la sauce dès la mise en ligne du racoleur. Remplissez d’abord la pompe à Link Juice avant d’actionner le levier. La durée dépend de votre impatience et de votre puissance de netlinking envers la plate-forme en question, mais vous serez fixé à la prochaine mise à jour du PageRank. J’ai défoncé l’indice de popularité Google depuis que j’ai commencé le référencement, mais le bougre sert bien d’indicateur pratique. C’est même l’indicateur de base lorsqu’il s’agit de poser un backlink. La langue, la thématique, le domaine et autres paramètres ne sont pas inutiles, mais dans une deuxième niveau.

Mix interne et externe

Je divise à 50% les plates-formes hébergées en interne et l’ouverture de comptes sur des plates-formes proposant des services et outils propices à l’intégration de liens.

Le critère de base pour choisir un nid à backlink potentiel sera l’absence de nofollow ou tout lien trop exotique pour transférer du Link Juice. Parfois, c’est plus compliqué à déceler. Par exemple Tumblr était pratique pour publier du contenu rapidement et même en auto-popularisant grâce au système des Likes, mais le succès de la plate-forme a engendré des soucis de performance qui rendait l’indexation très délicate.

L’autre paramètre à garder en tête est que le site appartient à autrui, donc il peut arriver un désastre comme la fermeture ou la mise en nofollow. J’ai toujours en tête les fabuleux blogs Opera que j’utilisais depuis 2004 pour assister impuissant, cette année, à la mise en nofollow des liens dans les billets.

Des soldats meurent au combat. Mettons une croix sur sa tombe et ne nous retournons pas.

Pour trouver des plates-formes accueillantes, googlez « nofollow social bookmark », « nofollow micro blogging », etc. Des listes ont été constituées pour votre plus grande satisfaction, mais ce ne sont pas non plus les perles. Pour trouver les racoleurs qui n’ont pas été polluées, un habile scrap sera la voie du salut. Comme pour le blast, commandez ou apprenez l’art de ScrapeBox chez un spécialiste.

En adoptant un rythme plutôt cool d’une création par semaine par plate-forme peu consommatrice de contenu, trois mois suffisent pour avoir une dizaine d’armes à linker.

Ensuite, la motivation viendra toute seule pour ouvrir des blogs ou autres avaleurs de contenu dense.

Chacun doit trouver la cadence et la mixture nécessaire pour maîtriser en interne la couche décisive de backlink qui fera toute la différence.

Comme toujours, le secret n’est pas le conseil, mais ce que vous allez en faire !

Plus malin encore, pourquoi pas lancer un service qui ira grapiller du lien de manière organique. L’imagination est la limite pour sortir quelque chose qui plaira aux autres. Si le bouzin plaît, les gens vont faire des liens naturellement et le PageRank ira gonfler au-delà de toutes vos espérances. Ce n’est pas rare d’observer un PageRank 5 ou même 6 pour un outil ou service utile.

Et si vous manquez d’imagination, regardez ce qui émerge aux USA et copiez !

Les modes sont incessantes à propos des bidules qui vont aiguiser l’appétit du référencement organique ou LinkBait. Si vous venez de louper la récente lancée sur les raccourcisseurs d’URLs pour profils Google +, ne doutez pas qu’un autre besoin se fera sentir incessamment sous peu.

Et le reste ?

L’objectif de ce Link Wheel est de prendre le contrôle d’une partie de l’apport de popularité. Cela peut-être la seule stratégie nécessaire, mais la raison conseille de continuer à pêcher du lien ailleurs ou même tenter de créer une valeur ajoutée suffisante afin que les liens émergent naturellement. Mettez vos tripes et du cœur dans vos sites et tout va s’enchaîner miraculeusement. Matt Cutts nous annonce toujours qu’il pleut, alors qu’on est déjà trempé sous l’averse, mais il n’a pas forcément tort lorsqu’il s’agit d’être remarquable. Plus près de nous, « donnez de l’amour à votre site » comme dirait Paul.

Je suis impatient de lire vos commentaires sur ce que j’aurais pu oublier ou si vous avez des conseils pour améliorer ce système. Et n’oubliez pas de voler au lieu de copier.

Edit : je fais un lien car il paraît, d’après une spécialiste, que le Mininet Butterfly explique mieux ce qu’il faut faire.

Crédits photo intro

59 réflexions sur “Stratégie imparable de LinkWheel”

  1. Quel article !
    Déchainé, comme dans la mêlée il y a pas si longtemps que ça.

    Sinon l’article il est là !!!
    Explicite, rentre dedans, aborde le BH et laisse effleurer que celui-ci devient peut-être nécessaire (dilué)..

    Calmos tu vas pas tenir les 80 minutes…

    Super article, GG nous tiens toujours par les C****** quoi qu’on en dise.

  2. Merci pour ces explications de qualité. Je commence tout juste à m’intéresser à tout ça et ce billet apporte de belles pistes pour éviter de se rater 😉

  3. Je t’ai bloqué sur twitter mais j’avais un doute. Là je n’en ai plus, tu lis bien mes tweets malgré le blocage !
    J’ai effectivement cité le billet sur le minimet car je l’ai trouvé fort compréhensible, rien de plus.
    PS : tes compétences en dessin sont à chier.

  4. @Vince : en opposition avec la division BH vs. WH de l’autre jour, j’ai voulu montrer comment la frontière peut être bien plus floue qu’on ne pense.

    @Luce : Google est effrayant !!!!

    @Eroan : se rater faut aussi partie du jeu.

    @Marie : je lis tes tweets quand je sens que tu vas te ridiculiser.

  5. Double satisfaction à la lecteur de ce touffu et généreux post : les bons du ref croient encore à l’off page, la stratégie proposée ( support et timing) est un petit précis de campagne aussi utile que le 18 brumaire de Marx l’était pour Levi-Strauss.
    Je bosse sur du gros concurrentiel et votre méthodo me semble aux petits oignons pour avancer vite et fort.
    Au passage merci pour l’info sur les blogs Opéra, j’allais pécher contre saint do follow hier

  6. Ceux qui vantent uniquement une stratégie Moyenne et Longue Traîne adoptent généralement une excuse de looser.
    Looser s’écrit loser avec un seul ‘o’. J’en sais quelque chose : megalooser.com. OOps. Je m’en suis aperçu trop tard. 🙂

    Super article. Faut compter combien pour une formation sur place à Paris ? Qui sont les spécialistes ?

  7. Bonsoir,

    et oh les ami(e)s du référencement, plus je vous lis, plus je me sens perdu. Et vu que cet article est plein de subtilités, je vais devoir le lire à plusieurs reprises pour en comprendre les sens « abscons ».
    C’est un peu comme les deux sites que j’essaye de référencer à titre perso et dont les résultats dans les SERPS ne cessent de faire du yoyo.. Je reste confiant, un jour je serai peut être référenceur…

    Hamid

  8. @Xavier : pourtant je ne suis pas le plus parano, mais pas de concession pour certains trucs.

    @Chirurgie : parmi les innombrables plates-formes que j’ai testé ou adopté, Opera est celle que je regrette le plus.

    @Papy : je ne connaissais pas (pas plus que le billet chez Rudy). Thx

    @loser : merci ! Ca m’a fait rire, donc tu as gagné un backlink à côté de ma fôte. Mail moi si tu veux que je te recommande quelqu’un.

    @voiture : c’est le plus acharné qui gagne.

  9. @Laurent
    T’as repris aussi le « jaune devant et marron derrière » de Biouman des Inconnus. J’ai bien rigolé. Je compte sur toi pour citer les Nuls au prochain billet.

    Merci pour le lien.
    Email envoyé. 🙂

  10. Quel article! J’aurais rêvé d’un tel « Howto » lorsque j’ai mis les mains dans le cambouis, j’aurais gagné 6 mois de tâtonnement.
    Par contre tu parles de linkwheel mais tu ne parles pas de lier les plateformes entre elles… j’imagine que c’est implicite!?

  11. Enfin tu poses par écrit la douleur du référenceur dont le travail est essentiellement le netlinking. Et tu me rassures je me retrouve pas mal dans tes écrits.
    Par contre si peu de place au linkbait? les US ne jurent que par ça (enfin ceux que je fréquente)

  12. Salut,
    Enfin un article ou on peut lire entre les lignes.
    J’ajouterais que dans la philosophie que tu propose la multiplication des empreintes :
    WP est génial mais il y a spip, Joomla, Drupal, statique…
    Après tout dépend de la qualité du travail que l’on souhaite fournir (ou l’amour qu’on veut lui donner).
    Au delà du savoir faire que l’on peut acquérir avec le temps et l’exercice le temps et sa gestion est une notion importante dans notre travail.

  13. Tout n’est pas limpide à la première lecture et une deuxième lecture s’imposera : 2 ou 3 schémas auraient été les bienvenus, mais je suis un peu exigeant là non ?.
    Post d’une rare qualité, je lis pas mal de blog SEO, pour une fois on sort de la traditionnelle « construire sa META TITLE ».
    La parano va relativement loin : « utilisez un poste dédié avec VPN… » ouahou Google pousse la surveillance jusque là ?
    Poussez du link juice sur des plate forme de blog « solide » et pérenne (blogger) n’est-elle pas finalement la meilleure solution ?

  14. C’est top comme article et au niveau de tout ce que tu dis, non seulement je suis d’accord mais c’est ce que je met peu à peu en oeuvre… dans mon réseau… à un détail prés que je ne comprends toujours pas bien… enfin c’est un détail de « précision ». Quand je cherche à ranker sur « tarte à la créme de marron » … je comprends que si tous mes BL sont de cette requête le dieu GG risque de me « pénaliser » (quoi que pour le moment je l’ai pas vu)… et donc on me dit, varier les ancres… ok donc comment tu répartis tes ancres sachant que tu veux ranker sur « tarte à la créme de marron » ??? Quel pourcentage pour « gateau à la créme de chataigne »… etc… C’est l’aspect des choses qui me parait le plus {mystique|curieux|bizarre|peu rationnel} pour le moment dans le SEO.

  15. Hahaha, en effet le nofollow est une capote de merde!

    D’abord merci d’entretenir le seul blog seo sur lequel on sent que l’auteur a beaucoup lu, toujours agréable pour le cerveau =)

    Ensuite Pour la parano, je trouve ça inutile car il y a longtemps qu’il est impossible d’être vraiment invisible pour google, en tous cas sur des grosses requêtes…

    Pour ce qui est du pagerank je ne te suis pas du tout par contre, il est tellement facilement manipulable et il y a un paquet de sites bannis des SERPs avec des gros PRs, il y a deux critères indispensables à vérifier selon moi pour de l’achat de lien (en cash, en troc ou en services…) par exemple, voire 3 : le trafic google (yoovi), le nombre de liens sortants et leur gueule (PPP?), l’âge du NDD et checker si il a pas changé de A à Z il y a 6 mois.

    Après je te rejoins complètement pour ce qui est de multiplier les liens sortants vers des sites « étrangers » à notre réseau, surtout sur le mainsite, et faire un marathon et non un sprint, quoi qu’il arrive …

    PS : pour tumblr maintenant il faut rebloguer l’article pour chopper le lien quand c’est possible.

  16. Dans un monde où WordPress est le roi de la plateforme blog-cp-digglike-boost-etcaetera ton post est rafraichissant et me conforte dans l’idée de continuer à faire tourner mon Scrapebox toutes les nuits ^^

  17. @Loser : ta mention des Inconnus n’était pas passée inaperçue et je retiens le challenge pour les Nuls.

    @axel : en effet, je ne conseille pas de faire le moindre lien entre les racoleurs. Ils n’en ont pas besoin d’ailleurs s’ils sont correctement assaisonnés via le liking auto.

    @Refschool : le billet est déjà très long (même rempli d’un vomi de périphrases selon ses détracteurs) et je suis passé en vitesse sur le LinkBait car cela mérite même d’être adressé à part. J’ai déjà parlé du Gratification Linking que j’entends comme spécialisation du LinkBait, mais le sujet est vaste.
    C’est clair que les Ricains sont au top niveau marketing, mais il suffit de pomper leurs idées pour répercuter un potentiel en FR. Bien entendu, cela n’empêche pas de creuser soi-même, mais l’existant outre-Atlantique est déjà un fabuleux terroir d’inspiration.

    @Yassine : tu as raison à propos de la variation des CMS. Au tout début (avant l’essor du CMS), je m’appliquais à changer les noms des class et tous les signaux du template qui pouvaient laisser une empreinte.

    @code promo : c’est un post du dimanche et je déteste faire des schémas 😀
    En fait, j’ai quand même dessiné un truc à Marie pour qu’elle comprenne mieux de quoi il s’agit

    @graphiste : plus c’est concurrentiel et plus faut diluer. À priori, ton exemple ne présente pas de risque et je commenceras doucement en ne variant rien du tout sur mon linking interne (en plus de Title bien sûr). Si ton site est assez puissant, c’est suffisant pour atteindre l’orée de la première page. Ensuite, pour finaliser le Top 3, j’enclenche le netlinking avec parcimonie car si GG te bloque c’est foutu. Mieux vaut partir tranquille que l’inverse.
    Par concurrentiel, je ne pense pas du tout aux résultats bruts, mais plutôt si ça « sent » le référenceur ou pas. Les filtres de Google n’étant pas appliqués de manière uniforme, tu dois attaquer les zones en fonction du filtrage potentiel que tes pages vont rencontrer.

    @Samuel : pour le PageRank, c’est surtout pour jauger les sites de ton réseau, donc pas de manipulation souhaitable 😀 N’oublie pas que je fais partie de la DarkSEOTeam qui a dénoncé le vol du PageRank.
    Faudra que je regarde à nouveau Tumblr car un problème serveur se répare. C’était pour illustrer certains facteurs bloquants qui vont au-delà du nofollow.
    Au fait, j’attends ton Gmail pour t’inviter sur GG Music.

    @vince : j’avoue ne pas m’être penché sur l’outil à la hauteur de son potentiel. Tiger me disait que le Web est truffé à 90% de dofollow, cela donne l’étendu du potentiel…

  18. 100% d’accord avec tout ce qui est écrit.

    Il y a juste un point qui n’est pas abordé (mais qui ne rentre pas vraiment dans le sujet) : la pérennité

    Faire une linkwheel c’est « bien », faire une linkwheel qui sera toujours là dans 5 ans c’est mieux.
    Je dis cela parce qu’il y en a beaucoup (et j’en ai fait partie) qui basent leurs Linkwheel sur du WPMU public qu’ils ont scrapé avec Scrapebox ou avec le tool de LFE et qui s’étonnent qu’un an après ils aient perdu les 3/4 de leurs splogs et donc de leurs BL (donc Negative Seo).

    Je pense que le coté « contrôle » et « pérennité » est un facteur essentiel pour celui qui veut continuer à envoyer ses gosses à l’école l’année prochaine. En plus une bonne linkwheel c’est comme le vin, ça se bonifie avec le temps 🙂

  19. Ton commentaire reste pertinent car le but du système est évidemment d’instaurer une pérennité qu’il n’est pas possible en allant pêcher uniquement ailleurs (WPMU par ex). Le mix de 50% maîtrisé en interne permet sert, notamment, de levier à cet égard. On peut imaginer que les plates-formes ouvertes ailleurs aient plus de facilité à court terme, tandis que l’interne sera largement plus pérenne.
    Cela dit, la méthode de « beaucoup » peut s’améliorer en continuant d’alimenter au lieu de se reposer sur ses lauriers.
    J’avais été frappé de la capacité pour certains players (thématique « bad neighborhood ») d’envoyer plusieurs dizaines de sites par jour avec une identité différente. C’est le vieux système de la cavalerie remis au goût du Web

  20. Bien sympa, juste un petit truc, disons qu’il est aussi possible de trouver des « mercenaires » expérimentés en cherchant des ndd expirés qui ont déjà un stock de BL et qui sont encore valide, cela permet de gagner du temps dans la construction en terme de qualité de la LinkWheel. Dans le pire des cas une petite 301 peut aider aussi, pour cela on peut utiliser xenu ou dark domainer qui donnent de bon résultats, il faut passer du temps mais il n’est pas rare de tomber sur des perles a même de monter une LinkWheel de qualité très rapidement.

  21. Si un site veut se faire référencer sur plusieurs pays, vaut-il mieux que la linkwheel soit simplement internationalisée ou plutôt dupliquée et cloisonnée par pays ?

  22. Yep… ok pour la requête fictive dont j’ai parlé… Admettons que je veuille ranker sur « Poker en ligne » … très concurrentiel donc… je n’arrive toujours pas à bien comprendre en quoi le fait de faire des BL avec les ancres « jouer au poker », ou « poker gratuit » … va me faire ranker sur « poker en ligne ». Je suis bête et stupide hein mais je cherche à comprendre ce mécanisme qui m’échappe. Dans ma pseudo-logique si je veux ranker sur « poker en ligne », il me semble logique que plus de 40% de mes bl doivent avoir cet ancres… alors qu’en fait non… je pige juste pas.

  23. Je comprend bien le principe, mais la question que je me pose, c’est à la fois la possibilité réel d’une linkwheel propre, sa taille, et ROI.
    car pour que ce soit nikel il ne faut aucun recoupement entre les différents lieu de posting

    Si j’imagine !
    1 money-site
    ^
    |
    10 blog de second niveau
    (avec un liens sur dix vers le money
    ^
    |
    10 digg + 10 cp (et donc 5 digg vers les cp)
    unique et propre à chaque blog

    Ca veut dire que pour 10 liens vers le money-site
    il faut
    100 articles
    600 digg
    100 cp

    Ce qui fais 60 000 mot écris pour dix liens, et trouver 150 plateforme de digg???

  24. Bonjour,
    Je vous rejoins à 200% dans le contenu de votre article. Je pense juste en defendant ma paroisse que la visualisation par la cartographie Netlinking comme celles que je m’evertue à produire, reste l’outil incontournable de votre intelligence strategique.

  25. Merci pour cet article Laurent, qu’est ce que tu peux publier ces derniers jours! La mise en place d’une LinkWeel n’est pas une tâche difficile au premier abord, en revanche sa gestion et son alimentation restent pour ma part la plus grande difficulté.
    Cependant, j’ai parfois un peu de mal à te suivre en ce qui concerne ta vision du PR, parfois tu sembles en faire un critère de choix dans ton netlinking et d’autres fois tu te fous carrément des prêcheurs de Page Rank!
    Serait il possible un jour que tu puisses nous éclairer sur cette chimère du SEO?

  26. @Labisse : oui rachat de site est toujours une excellente idée! Personnellement, j’ai surtout vendu des sites au lieu d’en acheter, donc je n’ai pas eu le réflexe d’en parler, mais c’est un bon atout.
    La redirection 301 depuis une bonne page d’un bon NDD marche bien également.

    @Plombier : la langue est un critère, mais je ne crois pas décisif. Sans doute qu’il faille un peu de tout, mais à la base je raisonne purement en Jus de PageRank. Les autres critères (langue, thématique, etc.) viennent au second plan.

    @graphiste : diluer ne va pas t’aider à grimper, mais va t’empêcher d’être bloqué.
    Sur « poker en ligne », je vais m’attacher à mettre seulement 25-30% max des ancres avec les mots clés. Les autres ancres vont même contenir autre chose que c’est termes comme par exemple un pseudo ou même des choses du genre « visitez ce site », des co-occurences bien sûr ou je ne sais qui éloignera le signal de « poker + en ligne ».
    Crois moi, quand t’es bloqué c’est la plaie car tu peux remuer des montagnes et ça ne bronche pas d’un cil.
    D’un côté, tu n’as pas l’ancre, mais le jus de popularité coule. Cela va tout de même apporter un plus.
    On peut imaginer de choisir les quelques backlinks qui peuvent faire la différence qui contiennent exactement la requête, puis se servir de backlinks bas de gamme (commentaires de blogs, signature forum, etc.) pour diluer le signal.

    @sacha : j’ai marqué un lien sur trois pour les billets de blog ou CP. 1 lien sur 10 c’est pour le contenu non chronophage type bookmark ou micro-blogging. Relis aussi le passage sur le nombre de racoleurs car l’objectif est de réduire le nombre, mais de diffuser un signal naturel à l’intérieur de chacun.

    @LionelVargot : tu as un soft qui peut faire une représentation des backlinks ?

    @Loic Helias : le PR est un indice. Certes, il est galvaudé et peu fiable, mais ça reste un indice. Si je veux avoir une petite idée rapide du potentiel pour transférer du LinkJuice, c’est la base. Mon combat concerne ceux qui pensent que le PR est vital pour se positionner ou même exister.

    @Julien : merci

  27. Ton passage sur l’importance de rester ‘under the radar » correspond presque en tout point à une partie de la conférence de Paul et son compère breton, la semaine dernière à Nantes. C’est vraiment une des clés de la réussite d’une bonne linkwheel naturelle, après, à chacun son degré de parano.

  28. Hello Laurent,

    Ton article est très long certes mais c’est assez compréhensible car tu introduis juste le principe de la linkwheel sans rentrer dans le détail (mais bon tu vas pas passer ta vie à mettre à jour ton blog ^^)
    Quid de la production de contenu ? De la démarche marketing a adopté pour obtenir du linkbaiting ? Etc.

    Cette stratégie est sûrement une des plus dures et longue à mettre en place dans un travail de référencement, elle est inutile parfois. Si tu as un exemple qui marche je suis preneur !

    P.S : Que penses tu de l’offre de backlinker mininet qui propose cela ?

  29. Bonjour Laurent,

    Bravo pour cet article d’une grande qualité. Contrairement à ce que certains disent, pour toi, le pagerank est donc encore un facteur à prendre en compte lors d’une stratégie de netlinking ? Après ton article j’en viens à me poser la question s’il ne vaut mieux pas s’abstenir de l’acquisition (dofollow bien sûr) d’un lien en PR0 plutôt que rien du tout…Pour ce qui est du cas du jardinage que tu évoques, je pense que tu sous-entend que l’environnement thématique entre le site et ses liens demeure d’une grande importance pour le « poids » dans google…

    Yvan,

  30. @Miu : pour tout avouer, c’est même une stratégie que je préconise pour certains nouveaux sites qui n’ont pas une valeur ajoutée unique sur le plan du contenu et qui attaquent une thématique ultra concurrentielle.
    Cette préconisation devient importante depuis Panda.

    @PizzaBuzz : tu n’as pas du lire la fin (oui je sais c’est long). Je parle du reste et par exemple du LinkBait.
    Je n’ai pas regardé l’offre Mininet, mais je préfère largement mener la danse en interne. Sous-traiter les blasts ou le scrap me parait cohérent, mais le réseau de racoleurs sera appréhendé en interne.

    @YvanDupuy : j’ai combattu avec hardeur le PageRank, mais la majorité semble être passé à l’extrème en le galvaudant entièrement. Ce n’est qu’un indice, mais un indice après tout. Pour évaluer le potentiel d’une page ou d’un domaine, cela reste un moyen pratique pour se donner une idée. Bien entendu, c’est préférable brièvement après la mise à jour de l’indice.
    Sinon, cela n’enlève en rien tous les reproches que j’ai fait au PageRank depuis que j’ai commencé le référencement. Plutôt, la perception que les gens en avaient.

  31. @ Laurent

    Quand tu dis « j’ai combattu avec hardeur ».
    au sujet du PR, cela veut il dire qu’il faut aussi être une p*rnstar pour avoir un gros PR ? 🙂

    Bon, pour être honnête, entre hier et aujourd’hui, je l’ai relu 3 fois cet article. Et j’adhère à peu près à tout.

    Il s’avère tout de même que l’on arrive parfois à des résultats spectaculaires en étant un peu bourrin sur du CP basique, comme quoi, comme tu le dis parfois chaque cas est unique.

    Je reviens sur un passage que personne n’a repris (ton exemple de blogueuse jardinage). Je suis toujours assez surpris qu’en j’entends des propriétaires de CP s’énerver contre ceux qui balancent 10 liens sur 100 mots.
    Je fonctionne plutôt comme toi et de manière plus naturelle. Il m’arrive de ne mettre qu’un lien dans 400 mots, mais celui-là, je le soigne, je le bichonne comme si c’était le seul que je pouvais avoir. Et je trouve que ça paye !

  32. Bonjour Laurent,

    Franchement félicitations !!!

    Ton meilleur billet depuis que je consulte ce blog basé sur l’information et la REFLEXION.

    Certainement l’article le plus complet et le plus instructif que j’ai pu lire sur le sujet.

    Effectivement, trouver des backlinks de qualité est un véritable travail d’investigation long et fastidieux.

    Mais on peut tout à fait récolter des backlinks à l’aide d’outils comme Scrapebox pour réaliser ce travail d’investigation.

    J’évoque juste la notion de « scrappe » mais pas de « blast » qui est plutôt réservé aux référenceurs aguerris et expérimentés.

    Merci pour ce billet à forte valeur ajoutée

  33. La question est de savoir si le réseau de sites ne verrouille pas le client final à l’agence de seo qui contrôle ce réseau de sites.
    De plus le réseau de sites pouvant accueillir d’autres bl d’autres clients, la détection par gg du réseau de sites n’entraine-t-elle pas la pénalité sur les autres clients ?

  34. Voler les idées c’est mal 🙂

    Et puis c’est pas la France qui doit être pourvoyeur d’idées ? On a pas de pétrole mais des idées.

    Il ne nous reste plus rien du coup ?
    Tant pis 😉

  35. Bonjour,

    J’ai pris plaisir à lire ce billet. Je suis d’accord sur la plupart des recommandations (avoir une approche organique, dans le temps, la façon d’optimiser les ancres, la fréquence des mises à jour et seulement après suffisamment de contenu, etc).

    J’ai toutefois un doute grandissant sur la notion de dilution des sources (whois et plages IP différents).

    Mais cela reste à l’état de doute : je constate seulement ce que je maîtrise, c’est à dire ma propre linkwheel. Ce que disent faire les autres est un leurre (qu’ils s’agisse d’éditeurs, de concurrents|confrères, de moteurs de recherche…) car je n’ai pas toutes les cartes en main pour leur apporter du crédit ou au contraire les éviter, et enfin, une même méthodologie peut s’avérer payante pour mon voisin mais pas pour moi…

    C’est pour cela que je conclus sur un autre point de concordance : il faut rester humble !

  36. Intéressant comme toujours ton article, c’est vrai que le rédactionnel est vraiment pète-bonbon… Surtout dans un milieu comme le mien qui évolue très vite et où il faut être ultra-réactif si tu veux avoir un site minimum sérieux et pas juste un nid à liens (autant joindre l’utile à l’agréable non ?).

    Bref, quelques conseils à appliquer qui vont me faire gagner du temps encore, merci Maître Laurent !

  37. Finalement, c’est peut-être la dernière option quand on n’y connait pas grand chose au referencement et qu’on n’a pas de grands moyens :
    « une valeur ajoutée unique sur le plan du contenu »… C’est ce que je préfère retenir…

  38. Ouhh làààà… j’aurais bien voulu mettre un commentaire intelligent, mais, fichtre, j’avoue que j’ai un peu de mal à me rassembler avec toutes ces informations, là !

    Disons que voilà une bien belle montagne à gravir en ce qui me concerne…

  39. Vraiment très intéressant.
    Faire ça proprement et à grande échelle demande en revanche énormément de temps et de moyens.
    Au moins, on comprend pourquoi une bonne stratégie de référencement qui repose sur des supports propres, ça se paye.

    Le point que tu soulève et qui me fait tilter, c’est le coup d’un ratio assez faible de publications dont le but est de référencer un site, pour diluer au maximum les traces de cette volonté de positionner un site.

    Je trouve ça tellement dommage que les sites de CP, par exemple, ne publient pas de temps en temps des articles sans lien, juste pour bosser leur longue traîne, faire un peu d’adsense et déguiser ces sites en vrais blogs.

    ça ouvrirait quand même de bonnes possibilités en termes de référencement white je trouve.

  40. Ouf, quel pavé ! J’adhère tout à fait à ton propos fort bien rédigé.
    Tes conseils sont très judicieux mais je ne crois pas qu’ils puissent s’appliquer à tous les cas. Ils sont parfaitement adapté aux SEO in-house ou aux agences de ref gérant de gros clients avec de gros moyens financiers. Les petits clients n’auront ni les moyens ni la confiance pour les budgets de ref qui découle de temps à passer pour la mise en pratique de ces conseils.

  41. Je me suis habitué a lire des posts de qualité chez toi, mais c’est vrai que cette article est certainement encore au dessus du lot !
    Il y a énormément d’axe de réflexion a suivre, c’est vraiment sympa de te lire…

  42. Un excellent article une fois de plus! Je m’interrogeais justement sur le principe du linkwheel il y a quelques jours et je dois dire que tout est beaucoup plus clair dans ma tête maintenant. Merci!

  43. Super article, en le lisant je me dis qu’il y a encore du boulot.

    J’aime beaucoup ton approche sur du long terme, qu’on ne retrouve pas chez tout le monde.

    Bon je crois que je vais relire l’article encore 2 ou 3 fois afin de tout comprendre ;-))

  44. Ping : Bloguer ou ne pas bloguer » A vous qui passez

  45. et ben dis donc tu t’es laché …

    donc ca veut dire que pour les CP, il vaut mieux ne mettre qu’un seul lien vers le money site et en ajouter d’autres sur la meme thematique mais non concurrentiels sur le mot clés visés ?

    j’apprécie bcp les approches citées d’autant plus que je fais en sorte d’être le plus naturel possible …

    je n’accroche pas aux techniques BH de spam qui condamnent à refaire le travail sans cesse, aucune stabilité/pérennité

    Merci

    Sebastien

  46. Article très intéressant, bravo.
    Je ne suis clairement pas au fait de ces techniques mais j’ai deux questions :

    1) Considères-tu cette technique comme un élément nécessaire pour décrocher une requête concurrentielle? Ou au contraire utilises-tu cette technique par praticité (ie :cela te semble in fine moins relou que de chercher du BL par d’autres moyens) Ou encore parceque tu pense que c’est plus secure (moins ‘jaune devant marron derrière’ que de simples soumissions et autres CPs)?

    2) Tu parles du fait que tu apprécies cette technique car elle te permet de moins avoir à rédiger du contenu. Mais à mon sens cela me semble énorme la quantité de contenu pour avoir une 10aines de sites type « j’aime le jardinage » par exemple. Mettons que tu y postes 3 articles par semaine, par blog ça fait qd meme 30 articles à se faire, ou à acheter. A moins qu’un contenu Gogole-translaté ou mega spinné suffise? Désolé, je n’ai clairement aucune idée des volumes nécessaires, je suis peut être à côté de la plaque. Disons que si il est question de faire du contenu à peu près quali, j’aurais plutôt tendance à passer un max de temps sur mon site principal.

    Merci en tout cas de partager, j’ai toujours apprécié tes articles mais ils avaient plus souvent valeur d’éditoriaux que d »how to »; là c’est du concret.

  47. 1) je pense qu’il faut s’approprier une partie du contrôle de l’apport de popularité. A toi de jauger ce que tu veux/peux maîtriser en interne, mais l’objectif est de ne pas être démuni. Chercher du link est chronophage et chiant, donc semi-automatiser intelligemment me semble une possibilité intéressante.

    2) je mentionne d’autres types de plates-formes que les blogs. Parmi tous les media sociaux, certains ne sont pas intenses au niveau contenu – genre social bookmark ou micro blogging. Même en valeur absolue, un billet de blog n’a pas besoin de faire +1000 mots. Un embed Youtube ou une image Flickr et quelques lignes de description font un contenu. Je préfère ça au vomi spinné, scrapé ou translaté. La quantité du texte sur un article n’est pas sur quoi je mise lorsqu’il s’agit de poster sur les « racoleurs ». C’est plutôt sur le money site que ça se passe.
    Puisqu’il s’agit d’envoyer un signal naturel, prenons l’idée de faire 1 lien tous les 20 billets vers ton site. Tu peux pondre 19 micro billets et celui qui est censé te rameuter du link va être plus consistant. Perso, il me faut 1 à 2 minutes pour poster un petit billet qui a pour simple ambition d’alimenter le bouzin et diluer le signal.

    PS : le « how to » est logiquement plutôt dans mes prestations que sur mon blog. Essayer de transmettre un état d’esprit est mon but via le partage. 😉

  48. Article intéressant et avec une véritable authencité qui est assez agréable même si cela rend la compréhension des informations données un peu plus complexe.

    Je suis un fervent défenseur du contenu ultra propre et d’ailleurs même si c’est plus long je boss que comme ça pour mes clients. Le contenu spinné c’est valable au jour d’aujourd’hui mais quand sera t’il dans quelques année ? Un référencement de qualité c’est sur le long terme, donc la linkwheel doit être construite selon moi dans cette objectif.

    Merci pour l’article.

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